Les viaducs de Pélussin

En fait, il y a deux viaducs en enfilade. Le plus long, avec une grande arche au milieu est celui qui s'appelle vraiment "Viaduc de Pélussin". Cette arche centrale enjambe une petite rivière nommée "Le Regrillon". Le deuxième, moins long et moins haut, situé dans l'alignement du premier, est à présent nommé sur les cartes "Viaduc de Charavine" mais les cartes postales anciennes (voir-ci-dessous) lui donnent le nom de "Pont de Charantonnay".
Ces deux viaducs ont été construits au début du siècle pour permettre le passage d'un petit train appelé "La Galoche" ou "Le Tacot". Il reliait, de 1905 à 1931, Saint-Etienne, Saint-Chamond, Pélussin et Maclas. Les viaducs sont maintenant réservés aux piétons.
Ces deux cartes postales anciennes montrant le pont de Charantonnay, situé à Pélussin, en construction sur la première vue. Il s'agit vraisemblablement de l'actuel viaduc de Charavine.
Enfin, les deux cartes postales ci-dessous montrent La Galoche (encore appelé Le Tacot) traversant le viaduc.
Ces deux viaducs ont été construits au début du siècle pour permettre le passage d'un petit train appelé "La Galoche" ou "Le Tacot". Il reliait, de 1905 à 1931, Saint-Etienne, Saint-Chamond, Pélussin et Maclas. Les viaducs sont maintenant réservés aux piétons.
Le viaduc de Charavine
Ce viaduc est en pente et en courbe, ce qui obligeait les trains à ralentir avant de l'aborder.
La construction du viaduc
Charpente réalisée pour la construction de l'arche principale.
Panneau d'information visible sur les lieux.
Panneau d'information visible sur les lieux.
Ces deux cartes postales anciennes montrant le pont de Charantonnay, situé à Pélussin, en construction sur la première vue. Il s'agit vraisemblablement de l'actuel viaduc de Charavine.
Enfin, les deux cartes postales ci-dessous montrent La Galoche (encore appelé Le Tacot) traversant le viaduc.